En voie de disparition au Canada des espèces végétales autochtones

January 21

En voie de disparition au Canada des espèces végétales autochtones


Les usines canadiennes menacées d'extinction sont protégés en vertu de la Loi sur les espèces en péril 2003. Le but de la LEP est, "pour empêcher les espèces sauvages de l'extinction et de sécuriser les actions nécessaires à leur rétablissement." Les espèces en péril Registre public répertorie environ 95 plantes vasculaires canadiennes en voie de disparition.

Comment les plantes déterminés à être à risque?

En 1997, une organisation appelée le COSEPAC a été formé pour étudier le risque pour les espèces sauvages canadiennes. Ils utilisent "le meilleur scientifiques disponibles, la communauté et les connaissances autochtones pour évaluer le risque d'extinction", selon une déclaration sur le site Web du groupe. Le COSEPAC est conforme des rapports de situation complets sur chaque espèce, qui sont à la disposition du public sur son site Web.

La mise en œuvre des espèces en péril Loi sur la

Les trois autorités canadiennes chargées de la mise en œuvre de la LEP sont Environnement Canada, l'Agence Parcs Canada et Pêches et Océans Canada. Les lois semblent solides, mais l'organisation à but non lucratif Nature Canada prévient que «les faiblesses clés dans la mise en œuvre de la Loi ont laissé de nombreuses espèces végétales et animales menacées d'extinction continue."

Pourquoi une espèce végétale ne devienne «à risque»?

Menaces à la vie végétale du Canada comprennent la perte de l'habitat par le développement humain, l'empiètement des espèces envahissantes, l'exploitation forestière, l'exploitation minière, l'agriculture et la pollution.

Comment aider les espèces en péril

Le gouvernement du Canada aide à protéger la biodiversité végétale en légiférant des lois vertes, la création de parcs et des réserves, et les organismes de financement qui évaluent les espèces en péril. particuliers canadiens peuvent aider à se renseigner sur les menaces à la biodiversité, des dons à des organismes de conservation à but non lucratif qui font du lobbying pour la conservation, en soutenant les entreprises locales qui font des efforts pour protéger l'environnement et à faire des choix de mode de vie «vert».